La pensée du jour des Emotifs Anonymes parle de perfection.
Je ne peux être humain si je m’oblige à la perfection
Le chapitre de “Compassion et haine de soi” qui parle de parentalité, explore justement cette question de la perfection.
Les parents idéaux n’existent pas, malgré la propagande culturelle que c’est le contraire.
Tous les sentiments (parfois très négatifs) à l’encontre des enfants, les pensées, les actions, qui sont considérées avec horreur par la société, sont pourtant communs et naturels à la condition humaine.
de plus :
Pour un enfant, avoir à porter le fardeau d’être le produit d’un intérêt exclusif et de la parfaite parentalité, est une pression terrible.
Aucun enfant ne devrait être accablé par le besoin d’apporter de la motivation à la vie d’un autre être humain, et chaque parent a besoin d’une vie qui soit bien plus pleine que celle de la parentalité.
A l’inverse :
byNotre culture voit la dépendance des parents envers les enfants avec une complète horreur.