Dans le chapitre 3 de Immunity to change, un responsable d’un organisme de protection de l’enfance décrit ce qu’a apporté le travail autour de l’immunité au changement.
Il conclut ainsi (c’est moi qui résume) :
Les travailleurs sociaux sortent d’une école où on leur a appris que les émotions refoulées reviennent sous forme d’un dysfonctionnement.
Or les organismes professionnels bien souvent, refoulent impitoyablement l’expression des émotions.
Ils agissent donc en parfaite contradiction avec les principes qu’ils devraient soutenir.
Le travail en quatre colonnes (établir une carte d’immunité par la technique Immunité au changement) offre un échafaudage pour décrypter ce qui se met en travers d’un désir conscient d’aider les familles à changer.
Tout au long de ce chapitre, j’ai reconnu mon environnement de travail, et tout le jeu d’émotions et de blocages si complexes mis en jeu.