Au cours d’une séance d’écriture en intelligence collective, j’ai eu l’intuition que nous devions vivre des conflits. C’est ce qui m’a décidé à écrire sur les conflits, un sujet ô combien évité dans mon environnement familial, omniprésent et insidieux mais jamais ouvert dans mon environnement professionnel. J’ai fait un travail d’immunité au changement sur ce sujet avec la découverte suivante : Si je crois que tout le monde partage ma peur du conflit, alors je n’apporterai pas sur la table et dans l’arène du travail ce matériel très intéressant. De fil en aiguille (ou presque), je me retrouve en contact de personnes qui promeuvent une méthode de travail sur les conflits en groupe. Et me voilà en train de suivre l’enseignement de l’Ecole Française de Process Work.
Voici quelques présupposés de cette école à propos des conflits : je dois dire qu’après une vie professionnelle passée à les éviter et en parler indirectement, ces postulats me décoiffent (je suis frisée).
Les conflits ne sont pas bons ou mauvais, ils sont.
Nous sommes ce qui reste des conflits auxquels on a survécu.
Tout conflit résolu par la force constitue un appel à la vengeance.
Les gens qui ont des problèmes en ont à cause de ceux qui n’en ont pas.
intelligence-collective-livre-blanc-2 qui parle des confits est en téléchargement libre.
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