The tipping point (ou comment créer des épidémies, par exemple de solidarité…)
Comment ce livre, de Malcolm Gladwell, pourrait-il s’appliquer à changer le monde ?
L’auteur décrit trois lois qui font que l’épidémie prend ou pas :
– tout d’abord, la loi du petit nombre, il suffit de peu de personnes, à condition qu’elles aient une audience. Ces personnes sont appelées par Gladwell, connecteurs, vendeurs ou savants (je traduis librement).
-seconde loi, le facteur collant comme par exemple une mélodie qui reste dans la tête et crée un réflexe conditionné d’associations d’idées à qui l’entend.
-troisième loi, le pouvoir du contexte et c’est peut-être là que le bâts blesse le plus. Par exemple, internet n’est peut-être pas le bon lieu pour rencontrer des gens qui voudraient agir. Internet est le lieu d’arnaques, de méfiance, on se sait jamais à qui on parle vraiment.
Applications pratiques :
– intéresser à la cause un connecteur (quelqu’un qui connaît beaucoup de monde), un vendeur (quelqu’un qui sait faire passer le message, un savant (quelqu’un qui prend le temps d’étudier les questions en détails et se forge une vraie opinion)
– le facteur collant, faire une chanson, une chaîne
– le contexte, il vaudrait mieux être en page d’accueil de Yahoo que sur un blog inconnu